On nous annonce que la soirée est complète, mais bizarrement, seule la moitié de la salle est remplie.
A notre arrivée, Natty est déjà sur scène. Un reggae pop à la Patrice. Très peu de choses à dire, si ce n'est que celà a été apprécié par une partie du public.
Le changement de scène est rapide et le Faya dub band s'installe. Une large formation dotée de 2 guitaristes, deux pianos, une basse et chose rare d'un flutiste. Une formation que l'on avait déjà vu aux zicalizes l'année passée où une partie du ruff cut band les avait rejoint. Et ce soir, c'est la même configuration! Ils entamment par une introduction.
Bob Andy, la "classe studio one" débarque sur scène sur "unchained". La voix est vacillante, vieillie, mais c'est pardonné vu la qualité de son concert : Hits sur hits ("too experienced", "let them say", "desperate lover", etc.), et une version acapella de "life" (du au manque de répétition avec le groupe). Il reste sur scène 50 minutes et part sur "I've got to go back home" où il a du mal à monter dans les gammes. Pour un second passage en France, il n'a cependant pas démérité.
A notre arrivée, Natty est déjà sur scène. Un reggae pop à la Patrice. Très peu de choses à dire, si ce n'est que celà a été apprécié par une partie du public.
Le changement de scène est rapide et le Faya dub band s'installe. Une large formation dotée de 2 guitaristes, deux pianos, une basse et chose rare d'un flutiste. Une formation que l'on avait déjà vu aux zicalizes l'année passée où une partie du ruff cut band les avait rejoint. Et ce soir, c'est la même configuration! Ils entamment par une introduction.
Bob Andy, la "classe studio one" débarque sur scène sur "unchained". La voix est vacillante, vieillie, mais c'est pardonné vu la qualité de son concert : Hits sur hits ("too experienced", "let them say", "desperate lover", etc.), et une version acapella de "life" (du au manque de répétition avec le groupe). Il reste sur scène 50 minutes et part sur "I've got to go back home" où il a du mal à monter dans les gammes. Pour un second passage en France, il n'a cependant pas démérité.
Et pour le plaisir, son premier passage en France, avec Jérome en MC (toujours mieux que le vieux mc moisi, jamalski, des deux soirées garance 2009 :) )
Pas d'entracte et Ken Boothe débarque sur scène. La voix est intacte et il bouge beaucoup, communique avec le public, qui est clairement venu pour lui. Ses hits y passent tous : "crying over you", "when i fall in love", "artibella", etc. Une mention personnelle spéciale à "everything i own" que j'aime tout particulièrement.
Une heure d'un show intense et une fin spéciale puisque Bob Andy est rappelé et ils interprètent un titre en commun. Un de ces moments si rare mais tellement bon!!
Nous nous en allons après Ken Boothe. Finley Quaye arrivait juste après. Je laisse les personnes juger par elles même.
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